Un bref survol de notre année
En 2024, la FGM a continué à faire progresser sa vision d’une philanthropie d’impact, qui met la force…
Il y a trois ans, nous lancions cette infolettre en abordant la question de l’éducation. Plus précisément, nous nous étions penché·e·s sur l’enjeu de la persévérance scolaire. La pandémie venait alors de chambouler une première rentrée. Inutile de préciser que la crise sanitaire n’a rien fait pour améliorer la situation depuis ce temps, bien au contraire. Plus récemment, la pénurie de main-d’œuvre dans plusieurs secteurs est venue aggraver l’enjeu du décrochage chez les adolescent·e·s. Collectivement, nous avons encore fort à faire pour que l’ensemble des élèves du primaire et du secondaire disposent du soutien et les outils nécessaires pour réussir et obtenir un diplôme ou une autre qualification.
L’année 2020 a aussi affiché une baisse marquée du nombre de diplômé·e·s universitaires au Québec. Cet enjeu a pris une importance particulière aux cycles supérieurs et dans le milieu de la recherche. Les abandons ont été nombreux. Depuis la pandémie, les inscriptions sont aussi en baisse dans la plupart des universités montréalaises. Les étudiant·e·s les plus vulnérables ont naturellement été les plus touché·e·s par ces répercussions, par exemple les parents. Bref, il n’y a pas de moment plus approprié que maintenant pour soutenir les ambitions des jeunes et des moins jeunes qui ont soif d’apprendre, d’ouvrir leurs horizons ou de se perfectionner dans leur domaine.
Tout le monde n’a pas à poursuivre des études supérieures pour décrocher un emploi satisfaisant et mener une vie épanouie. Beaucoup d’autres avenues existent. Mais il est dans notre intérêt collectif que chaque personne ayant les capacités et le désir d’entrer à l’université puisse le faire. Des progrès remarquables ont été enregistrés à cet égard au fil des dernières décennies. Toutefois, l’origine socioprofessionnelle et les revenus de la famille jouent encore malgré tout un rôle important dans l’accessibilité aux études supérieures. L’endettement étudiant guette également davantage, évidemment, ceux et celles qui sont issu·e·s de familles moins bien nanties.
Les bourses d’études et autres aides publiques aux étudiant·e·s, qui contribuent à rétablir l’équilibre, sont essentielles. Mais comme chacun·e le sait, elles ne suffisent pas à combler les besoins. Heureusement, il y a aussi plusieurs philanthropes qui, en s’engageant à long terme pour redonner à leur communauté par le biais de bourses d’études, font une différence réelle dans la vie de nombre d’entre eux et d’entre elles. D’autres offrent leur soutien à l’extérieur des institutions d’enseignement, pour appuyer le développement d’autres compétences. Continuez votre lecture pour prendre connaissance de quelques belles histoires de réussites.
Pour soutenir la participation de plusieurs personnes aux programmes de formation aux droits humains d’Equitas.
Pour encourager et soutenir la relève et la diversité en finance et en commerce.
Pour offrir des bourses à des étudiantes autochtones dans n’importe quelle université canadienne.
Pour souligner l’engagement et l’impact d’une œuvre créée avec le Wapikoni Mobile.
En 2024, la FGM a continué à faire progresser sa vision d’une philanthropie d’impact, qui met la force…
Visionnez ci-dessous la captation du lancement du rapport Signes vitaux du Grand Montréal sur les iniquités…
À travers son travail visant à mobiliser la philanthropie pour soutenir le mieux-être des populations…