Un bref survol de notre année
En 2024, la FGM a continué à faire progresser sa vision d’une philanthropie d’impact, qui met la force…
À l’occasion de la Journée de la philanthropie, la Fondation du Grand Montréal et l’Institut Mallet se sont associés afin de faire avancer la réflexion sur l’avenir de la philanthropie et des Objectifs de développement durable au Québec vers l’horizon 2030. Ce partenariat s’est concrétisé par la tenue de deux webinaires les 5 et 12 novembre 2020, intitulés :
Ces deux panels virtuels ont donné la parole à plusieurs leaders de la relève philanthropique qui ont exposé leurs visions et leurs projets, et ont permis aux acteurs de se projeter vers 2030 en discutant de la relance à construire et du rôle de la philanthropie comme acteur de changement et de résilience, dans le contexte de la Décennie d’action qui nous mènera à l’échéance des ODD, en 2030. Les panels ont fait l’objet des thèmes suivants, cliquez sur les hyperliens suivants pour en (re)voir les enregistrements :
Le jeudi 5 novembre 2020 : la relance inclusive
Le jeudi 12 novembre 2020 : l’économie durable
Pour en savoir plus
En juin dernier, la Fondation du Grand Montréal publiait son rapport Signes Vitaux 2000 – 2019, qui faisait un état de situation du Grand Montréal, en lien avec les Objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU. Ce rapport a mis en lumière plusieurs défis que nous devons relever collectivement. En outre, le rapport donnait notamment la parole à 13 leaders de la relève. Ils nous ont ainsi révélé leurs visions de la prochaine décennie dans la perspective des ODD.
Depuis, la pandémie de COVID-19 a bouleversé le secteur de la philanthropie et le milieu communautaire. Cette pandémie a agi comme révélateur et accélérateur des enjeux déjà existants. Elle constitue, pour les acteurs de l’écosystème philanthropique, une occasion sans précédent de se questionner et de se redéfinir. C’est ce que vous proposent la Fondation du Grand Montréal et l’Institut Mallet.
Programmation et panélistes
Le rapport Signes vitaux a démontré que, à Montréal, peu ou pas de progrès sociaux ont été faits depuis 20 ans. À titre d’exemple, Montréal demeure la capitale canadienne de la pauvreté chez les enfants. Comment expliquer qu’en 2019, près des deux tiers des personnes vivant en situation d’insécurité alimentaire touchaient pourtant un revenu d’emploi? Pourquoi ne progressons-nous pas plus rapidement pour enrayer la violence conjugale?
La COVID-19 a eu pour effet de mettre en lumière d’autres failles dans le contrat social, comme la discrimination systémique. Nous assistons à une tempête parfaite, qui nous oblige à repenser l’après-COVID. Nous devons réfléchir à ce que nous pouvons et devons faire différemment vers 2030.
Les panélistes
La pandémie a eu pour effet de briser le momentum de la lutte contre les changements climatiques. Le rapport Signes vitaux nous a également montré que, malgré nos efforts, les résultats demeurent mitigés. Le gouvernement du Québec confirmait d’ailleurs en décembre 2019 que les cibles pour 2020 ne seraient pas atteintes.
En parallèle, la forte croissance économique qu’a connu Montréal depuis les années 2000 a aussi été étouffée par la COVID-19. Le taux de chômage a grimpé abruptement. La pandémie laisse aujourd’hui des milliers de personnes dans un état de précarité parfois extrême. Dans les deux cas, nous ne connaîtrons que bien plus tard l’étendue des conséquences sur l’ensemble de la société. Alors que nous préparons la sortie de crise, comment faire les choses différemment ? Comment agir maintenant pour mieux rebondir et relancer notre économie? Et comment amplifier nos efforts de protection de l’environnement et du climat dans une perspective 2030?
Les panélistes
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Visionnez ci-dessous la captation du lancement du rapport Signes vitaux du Grand Montréal sur les iniquités…