Un bref survol de notre année
En 2024, la FGM a continué à faire progresser sa vision d’une philanthropie d’impact, qui met la force…
L’équipe de la Fondation du Grand Montréal, celle de Centraide du Grand Montréal et celle de l’Institut du Québec remercient les membres bénévoles du comité de travail des Signes vitaux sur le logement 2022. Leur contribution a permis l’élaboration d’un rapport plus approfondi et rendant compte de toutes les perspectives, notamment communautaires et académiques, sur la question du logement. Apprenez-en plus sur elles et sur eux ici.
Formée en sciences sociales, Maude Beausoleil est professionnelle de recherche et analyste chez Centraide du Grand Montréal depuis 10 ans. À ce titre, elle a développé une connaissance approfondie des réalités, des acteurs présents et des défis spécifiques au Grand Montréal. Auparavant, elle a travaillé pendant plusieurs années sur divers mandats à la Direction régionale de santé publique de Montréal, notamment sur les questions du logement et de l’insécurité alimentaire. Elle y a également coordonné un programme de développement durable pour soutenir des projets dans les quartiers de Montréal, de concert avec des acteurs du milieu communautaire et municipaux. Les conditions de vie, la pauvreté, les inégalités et le devenir de Montréal sont au cœur de son engagement professionnel depuis plus de 20 ans.
Marie-Andrée travaille depuis 15 ans dans le milieu de la philanthropie, principalement en tant que responsable de programmes de financement en appui à la communauté. Elle s’intéresse particulièrement aux enjeux sociaux et leur évolution ainsi qu’aux collaborations et concertations nécessaires pour offrir un soutien approprié. Elle est à l’écoute de la communauté et apprécie les interactions avec les acteurs terrain qui sont essentiels dans cet écosystème. Marie-Andrée est diplômée de l’UQÀM en administration des affaires et tourisme ainsi qu’en responsabilité sociale des organisations.
Annick Germain, sociologue, est professeure chercheure titulaire au Centre Urbanisation Culture Société de l’Institut national de la recherche scientifique. Ses recherches portent sur le logement, les espaces publics, l’immigration à Montréal. Elle dirige les programmes en Études urbaines à l’INRS.
Renaud Goyer est chargé de cours au département de sociologie à l’Université de Montréal depuis plus de 12 ans. Il est également l’auteur de nombreux écrits sur la situation du logement au Québec, s’attaquant particulièrement aux inégalités sociales.
Xavier Leloup est professeur-chercheur au Centre Urbanisation Culture Société de l’INRS (Institut national de la recherche scientifique). Ses travaux portent sur différentes questions en lien avec le logement et l’habitat. Au fil de différents projets, il s’est intéressé au logement social public, aux interventions sociales qui y sont menées, aux conditions de logement des immigrants et aux quartiers où ils résident, à la cohabitation interethnique à l’échelle des quartiers, et à l’évolution des inégalités de revenu à Montréal. Il est membre du partenariat de recherche People, Places, Policies, Prospects : Affordable Rental Housing for Those in Greatest Needs et dirige la revue Lien social et Politiques.
Éric Michaud assure la coordination du Comité logement Ville-Marie, un organisme de défense collective des droits des locataires qui œuvre au centre-ville de Montréal, depuis une vingtaine d’années. Il coordonne également la table de concertation en logement Habiter Ville-Marie, dont la mission est de susciter, appuyer et promouvoir le développement du logement social dans l’arrondissement de Ville-Marie en priorisant la réponse aux besoins des populations locales. À ces titres, il a collaboré à de nombreuses recherches sur l’habitation et est intervenu à de nombreuses reprises dans le cadre de consultations publiques sur des projets de planification ou de développement urbain au centre-ville de Montréal.
Diplômé en science politique à l’UQAM, Marco Monzon travaille depuis plus de 10 ans dans le domaine du droit au logement et de la promotion du logement social. Il occupe actuellement le poste de directeur général auprès du Comité logement Rive-Sud et s’implique activement auprès de conseils d’administration d’organisations qui œuvrent dans le développement et l’exploitation de logement social. Auparavant, il a travaillé plusieurs années comme intervenant auprès des hommes en situation d’itinérance pour des ressources de première et deuxième ligne.
Mario Régis travaille à Centraide du Grand Montréal depuis 2013. Il est actuellement directeur principal, à la Direction générale. Avant de se joindre à Centraide, Mario Régis a dirigé le Regroupement des Centres de la petite enfance de l’Île de Montréal pendant les 7 premières années de l’implantation de cette importante politique publique. Puis il a dirigé le Centre 1, 2, 3 GO! et le déploiement au Québec d’Avenir d’enfants. Son parcours l’a amené à s’intéresser à la mobilisation des communautés, aux pratiques philanthropiques ainsi qu’aux politiques sociales favorisant une meilleure égalité des chances. Mario est détenteur d’une maîtrise en administration sociale de l’École de service social de l’Université de Montréal.
La Fondation du Grand Montréal, Centraide du Grand Montréal et l’Institut du Québec souhaitent également remercier Catherine Lussier du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) ainsi que Marc-André Plante et Rodolphe Parent de la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ) pour les entretiens qu’ils nous ont accordés afin d’offrir leur point de vue et leur expertise concernant certains groupes moins bien représentés dans les données statistiques.
L’Institut du Québec souhaite également remercier particulièrement Lily Ibrahim, conseillère, Systèmes d’information géographique (SIG) chez Centraide du Grand Montréal pour sa collaboration à la collecte des données ci-après présentées.
Cette édition des Signes vitaux se veut un état de la situation du logement dans le Grand Montréal. Plus spécifiquement, elle s’est penchée sur l’accessibilité et l’abordabilité des logements. Les secteurs et les groupes les plus vulnérables face aux tendances actuelles ont aussi été étudiés.
En 2024, la FGM a continué à faire progresser sa vision d’une philanthropie d’impact, qui met la force…
Visionnez ci-dessous la captation du lancement du rapport Signes vitaux du Grand Montréal sur les iniquités…
À travers son travail visant à mobiliser la philanthropie pour soutenir le mieux-être des populations…