Un bref survol de notre année
En 2024, la FGM a continué à faire progresser sa vision d’une philanthropie d’impact, qui met la force…
L’équipe de la Fondation du Grand Montréal et celle de l’Institut du Québec remercient les membres bénévoles du comité de travail des Signes vitaux 2022. Elles ont partagé avec nous, de façon ouverte et généreuse, leur fine connaissance des tendances et des besoins sur le terrain. Ce faisant, elles ont rendu le rapport plus précis, plus humain et plus représentatif de la réalité vécue des femmes et des filles du Grand Montréal. Apprenez-en plus sur elles et sur leur travail ici.
Alison Abrego est nourrie par son expérience en ayant grandi dans le quartier Saint-Michel, par son souci d’inclusivité, par l’art engagé, par sa mission à transformer des systèmes, son expérience avec les jeunes dans le communautaire et le privilège de détenir un baccalauréat en travail social. Elle est responsable des programmes, en co-collaboration avec son équipe. Le coeur de son rôle est d’assurer que les voix et les besoins des jeunes sont pris en compte en créant des espaces sécuritaires alternatifs. D’ailleurs, presque tous les jeunes qui ont participé à nos consultations jeunesse demandent des espaces sécuritaires pour s’exprimer et agir sur des sujets qui les concernent comme les violences sexuelles envers les jeunes dans les milieux scolaires, la sexualisation des corps, le racisme systémique, l’environnement et les enjeux vécus par les communautés autochtones.
À propos de Fondation filles d’action
Fondée en 1995, la Fondation filles d’action est un organisme sans but lucratif qui croit fermement au pouvoir d’agir des filles, des jeunes femmes et des jeunes de la diversité de genres en tant qu’agent.es de changement social. Grâce à notre réseau pancanadien d’organismes, nous menons, concevons et mettons en oeuvre des programmes transformateurs pertinents et adaptés aux réalités changeantes de nos communautés. Filles d’action inspire et soutient l’autonomisation, le leadership et le développement sain des filles, des jeunes femmes et des jeunes de la diversité de genre en augmentant leur accès aux ressources et aux opportunités.
Sonia Alimi est doctorante en sociologie et chargée de cours à l’Institut de recherches en études féministes de l’Université du Québec à Montréal. Elle travaille depuis six ans au sein du Réseau d’action des femmes handicapées du Canada en tant que coordonnatrice à la recherche. Sa thèse s’intéresse aux pratiques féministes antiracistes et décoloniales des Françaises d’origine nord-africaine.
À propos de DAWN-RAFH Canada
La mission de DAWN-RAFH Canada est de mettre fin à la pauvreté, à l’isolement, à la discrimination et à la violence que connaissent les femmes handicapées. DAWN-RAFH Canada est la seule instance nationale qui se consacre spécifiquement à la défense des droits des filles et des femmes sourdes ou handicapées du Canada ainsi qu’à leur avancement et à leur intégration pleine et entière à la société. Notre orientation stratégique globale repose sur l’implantation d’actions novatrices, l’établissement de partenariats et l’instauration de réseaux visant à amener les différents paliers gouvernementaux, les organismes travaillant à la promotion des personnes handicapées ou des femmes ainsi que les autres intervenants concernés à prendre en considération nos problématiques prioritaires et à oeuvrer à leur résolution.
Monica Dunn est coordonnatrice de la TCVCM depuis 2018. Elle oeuvre dans le milieu communautaire depuis plus de 20 ans et travaille au niveau de la concertation intersectorielle depuis près de 10 ans, en plus d’agir dans d’autres milieux à titre de médiatrice et de facilitatrice. Elle est formée en sociologie, en règlement des différends ainsi qu’en communication non-violente.
À propos de la Table de concertation en violence conjugale de Montréal
La TCVCM a pour mission de réunir et mobiliser les différents acteurs concernés afin de contrer la violence conjugale et ses conséquences. Elle favorise le travail en partenariat et la concertation dans une démarche globale d’analyse, de prévention et d’action visant, d’une part, la protection des femmes, des enfants, des autres victimes et des personnes vulnérables ou ayant des besoins particuliers et, d’autre part, la responsabilisation des personnes agresseures. Elle réunit actuellement plus de 50 membres issus de 11 secteurs d’intervention, autant du milieu institutionnel que communautaire.
Étudiante en criminologie et détentrice d’un certificat en études féministes, Justine a rejoint la Table de concertation en violence conjugale et agressions à caractère sexuel de Laval en 2021 à titre de coordonnatrice générale. Son rôle vise principalement à assurer une concertation entre les différents.es acteurs.trices qui luttent contre les violences conjugales et sexuelles à Laval, tout en incarnant les valeurs et fondements de la TCVCASL. Dans le cadre de ses études et de son militantisme, elle s’intéresse particulièrement aux impacts traumatiques que subissent les personnes victimes de violences intimes.
À propos de la Table de concertation en violence conjugale et agressions à caractère sexuel de Laval
La TCVCASL est un regroupement régional d’acteurs.trices communautaires et institutionnels multidisciplinaires qui luttent contre les violences conjugales et sexuelles. Elle favorise la concertation, la formation et le partage d’expertise auprès de ses membres, et sensibilise la population au sujet de ces violences dans une perspective de transformation sociale.
Catherine Lavarenne est responsable des stratégies de financement du Conseil québécois LGBT et du soutien aux membres dans leur recherche de financement. Son rôle consiste à diffuser auprès des organismes LGBTQ+ du Québec les occasions de financement disponibles et de les aider dans la rédaction des demandes de subvention. Elle participe aux activités de plaidoyer auprès des gouvernements et des institutions subventionnaires, afin de porter à leur attention les besoins des communautés de la diversité sexuelle et de la pluralité des genres.
À propos du Conseil québécois LGBT
Le Conseil québécois LGBT est l’interlocuteur privilégié du gouvernement pour tout ce qui touche à la défense des droits des personnes de la diversité sexuelle et de la pluralité des genres au Québec. Son approche se base sur la concertation de ses membres, c’est-à-dire 63 groupes et organismes communautaires qui travaillent sur le terrain. En plus de la défense des droits, le Conseil québécois LGBT soutient le réseautage, l’entraide et la solidarité du milieu communautaire LGBTQ+ au Québec.
La Fondation du Grand Montréal et l’Institut du Québec souhaitent également remercier Michèle Chappaz du Mouvement pour mettre fin à l’itinérance à Montréal, Isabelle Gélinas du Y des femmes de Montréal et Asmaa Ibnouzahir de l’Institut F pour les entretiens qu’elles nous ont accordés afin d’offrir leur point de vue et leur expertise concernant certains groupes moins bien représentés dans les données statistiques.
Depuis 2020, la FGM a porté une attention particulière à la situation des femmes et des filles dans notre communauté. La présente édition des Signes vitaux se veut donc un état de la situation générale des femmes et des filles dans le Grand Montréal.
En 2024, la FGM a continué à faire progresser sa vision d’une philanthropie d’impact, qui met la force…
Visionnez ci-dessous la captation du lancement du rapport Signes vitaux du Grand Montréal sur les iniquités…
À travers son travail visant à mobiliser la philanthropie pour soutenir le mieux-être des populations…