Lancement du rapport Signes vitaux du Grand Montréal sur les…
Visionnez ci-dessous la captation du lancement du rapport Signes vitaux du Grand Montréal sur les iniquités…
Saviez-vous que, selon l’organisme AlterGo*, un tiers des Québécois·e·s déclarent avoir une limitation fonctionnelle? Au-delà des clichés et des préjugés, on comprend ainsi que viser l’accessibilité universelle (AU) permet d’aider un peu tout le monde : des personnes ayant une limitation fonctionnelle ou en situation de handicap, bien entendu, mais aussi des personnes âgées ou à mobilité réduite pour d’autres raisons, des parents qui se déplacent avec leurs bambins, voire n’importe qui devant porter une charge encombrante! Qu’est-ce que l’accessibilité universelle? Toujours selon AlterGo, c’est la condition qui permet la participation de tous et toutes. Tout simplement.
L’aspect architectural et urbanistique est, bien sûr, au cœur de l’accessibilité universelle. C’est celui qui nous vient en tête en premier, non sans raison. L’aménagement de nos bâtiments et de nos espaces publics doit en effet permettre l’accès de tout le monde. Mais ce n’est qu’une des multiples facettes de l’AU. Les procédés utilisés afin d’offrir un service ou une activité, la manière de communiquer avec le public – tant dans le monde physique que numérique – et l’attitude que nous affichons envers les personnes ayant des limitations : tout cela doit contribuer à l’atteinte et au maintien de l’AU dans nos organisations et dans la société.
Plus qu’une liste de critères à cocher, l’accessibilité universelle est aussi une posture, une mentalité à laquelle nous devons nous engager. À travers une démarche continue de sensibilisation, d’apprentissage et de consultation, notamment, nous avons le pouvoir d’agir pour retirer le plus d’obstacles possible de notre environnement. Ce n’est qu’ainsi que nous développerons la capacité d’inclure réellement tout un autre pan de la diversité qui constitue et enrichit notre collectivité.
Heureusement, l’équipe d’AlterGo n’est pas seule, et de nombreux leaders et organisations s’affairent à guider notre collectivité dans cette démarche qui vise l’intégration et l’épanouissement de tous ses membres, sans égard aux limitations. Ci-dessous, découvrez-en quelques-uns avec lesquels la FGM a eu la chance de travailler.
Crédit photo : Société Logique
*Selon l’Enquête québécoise sur les limitations d’activités, les maladies chroniques et le vieillissement 2010-2011, la proportion de personnes ayant une incapacité parmi celles âgées de 15 ans et plus vivant en ménage privé ou en ménage collectif non institutionnel est estimée à près de 33%.
Guidé par ses valeurs de générosité, M. René Lisi souhaitait se concentrer sur le développement de son oeuvre philanthropique. Il s’est donc tourné vers la FGM pour créer le Fonds Fondation LISI GEOFFROY.
Pionnier du design universel au Québec, l’organisme à but non lucratif Société Logique a pour mission de promouvoir et réaliser la conception et la création d’environnements universellement accessibles.
DAWN Canada a vu le jour en 1985. Lors d’une rencontre, 17 femmes ont discuté de certains constats qui les préoccupaient, notamment en ce qui concerne la pauvreté chez les femmes vivant avec un handicap. Et elles ont décidé d’agir.
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À travers son travail visant à mobiliser la philanthropie pour soutenir le mieux-être des populations…
Le mois dernier, l’équipe de la Fondation a organisé un webinaire portant sur comment créer un fonds…